Les Activités de la S. P. A. du Boulonnais.

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LA PRESSE
mise à jour du de la page : 09/10/2017
 


Chaque week-end, dans la presse, vous pouvez découvrir nos coups de cœur pour l'adoption .
 


Toute l'équipe, de la S.P.A. du Boulonnais, tient à remercier les journalistes de la "La semaine dans le Boulonnais" et de "La Voix du Nord" pour leur assiduité à relayer les articles concernant nos pensionnaires en attente d'adoption. Beaucoup de chiens et de chats leurs doivent d'avoir trouvé une famille.
Nous remercions également
le magasine infos loisirs du pays boulonnais  "TOUZ'AZIMUTS" qui chaque mois consacre une page entière à nos compagnons dans la rubrique " La ballade de PIX "
 

 

 

TOUZ ' AZIMUTS
 

tous les mois paraît

" la balade de Pix "
 


" La Balade PIX "

Magazine Infos loisirs
du pays Boulonnais
83 000 exemplaires

à lire chaque mois sans modération

 le site  

 

 

 

LA VOIX DU NORD
 

paraît toutes les semaines
En général le dimanche

" S.O.S ANIMAUX "
 

 

" S.O.S ANIMAUX " ADOPTION

Présente un seul animal en photo,

un texte descriptif des autres animaux,
et des demandes particulières.

à consulter  toutes
les semaines
sans modération

 le site
 

 

 

LA SEMAINE
DU BOULONNAIS
 

paraît toutes les semaines
En général le mercredi

" ADOPTIONS "
 

 

" COUP DE COEUR "  ADOPTIONS 

Présente deux  photos
avec un descriptif,


à consulter  toutes
les semaines
sans modération

 le site

 

Lu
dans la
" La semaine
dans le boulonnais "
septembre 2017


SAUVETAGE D’UN CHAT COINCE DURANT TROIS JOURS DANS UN RESTAURANT EN TRAVAUX RUE DU POT D’ETAIN : Le débat :-)

Le sauvetage a été réalisé par l’association Ecole du Chat du Boulonnais et un délégué d’Assistance Aux Animaux. La société Opale Capture Environnement se juge « autorité compétente » et considère qu’on lui a pris son travail ;-) .

Qu’en est-il des prérogatives de chacun des protagonistes ?
(Nous vous invitons par ailleurs à consulter l’article correspondant dans la Semaine dans le Boulonnais).

Petite explication de texte…

Comme clairement indiqué sur les sites de diverses communes du Boulonnais et sur celui de la CAB, les services proposés par la société privée Opale Capture Environnement, et pour lesquels il a été agréé par les services de l’Etat sont la capture de carnivores domestiques, d'animaux dangereux agressifs, etc., l’enlèvement d'animaux abandonnés, la prise en charge de la faune sauvage locale blessée ou malade, la prise en charge d'animaux domestiques blessés, le ramassage d'animaux morts dont le poids n'excède pas 40 kgs environ.

Sur la voie publique :

A ce titre, les communes du secteur ont fait le choix de conventionner avec cette société, pour un ensemble de situations pour lesquelles elles ont compétence, notamment les animaux errants sur la voie publique (application de l’art. L211-22 du CRPM).
Toutefois, ces conventions ne prévoient pas de critère d’exclusivité. En effet, rien n’interdit un particulier (ou une association) de ramasser un animal en détresse sur la rue, de le conduire chez le vétérinaire le plus proche pour vérifier s’il est identifié afin que sa restitution au propriétaire se fasse au plus vite, ou de le déposer directement à la fourrière.

Autre exemple, les campagnes de stérilisation peuvent être diligentées à l’initiative des communes ou d’une association de protection animale (art. L211-27 du CRPM), qui peut assurer le trappage, tout comme la société privée, ou même le personnel communal (agent municipal, garde champêtre, le Maire lui-même…).

Le recours à la société Opale Capture est en fait une solution de simplicité pour les communes (et sans doute pas la plus économique… mais c’est un autre débat !). D’autres sociétés pourraient être en mesure de proposer leurs services concurrents (payants), mais aussi des associations (la SPA l’a d’ailleurs fait sur Boulogne et environs pendant des années…) ou encore le personnel communal !

Dans une propriété privée :

En ce qui concerne l’accès à une propriété privée, la situation est sensiblement différente. En effet, c’est l’art. L211-22 du CRPM précise que les propriétaires peuvent « saisir (eux-mêmes) ou faire saisir par un agent de la force publique les (…) chats que leurs maîtres laissent divaguer. Les animaux saisis sont conduits à la fourrière ». Par conséquent, une fois la situation de divagation établie, c’est le propriétaire lui-même (ou quelqu’un dont il assurerait lui-même la rémunération) qui peut les capturer ou un agent de la force publique. Jusqu’à preuve du contraire, les agents d’Opale Capture ne sont pas assermentés et doivent donc toujours être accompagnés des forces de l’ordre pour intervenir sur le domaine privé… Quant aux associations, elles ont choisi d'intervenir bénévolement, avec l'accord du propriétaire...

Qui est réellement habilité à juger de la maltraitance ?

Si chacun est en mesure de penser qu’il y a maltraitance évidente (ex. chien dans une voiture en plein soleil, chien attaché trop court…) et d’alerter les forces de l’ordre, la situation peut être plus délicate à apprécier dans de nombreux autres cas de figure. Dans ce cas, c’est l’accumulation de preuves (photos, vidéos, témoignages) ou, mieux, de certificats vétérinaires qui peuvent accréditer la thèse de la maltraitance et justifier une intervention urgente. A ce titre, les associations de protection animale ont un rôle essentiel à jouer, en collaboration avec les vétérinaires et les services de l’Etat (forces de l’ordre, DDPP, Procureur).

La Société Opale Capture n’a pas pour mission de « mener une enquête pour déterminer si l’animal était correctement traité ».

 Ne mélangeons pas les genres et laissons ce soin aux associations qui connaissent bien le sujet et aux professionnels du bien-être animal que sont les vétérinaires.
Il est donc tout à fait justifié que des membres d’associations bénévoles soient des donneurs d’alerte et soient présents sur place, afin que les opérations de sauvetage soient transparentes.

De plus, l’intervention d’un vétérinaire dans les meilleurs délais après le sauvetage, pour s’assurer de l’état de l’animal, ou parfois lors des opérations (si une anesthésie est requise par exemple) est bienvenue. C'est ce qui a été fait.

A ce titre, rappelons que la Société Opale Capture n’est ni habilitée à juger de l’urgence de la situation, tant que l’animal n’est pas récupéré, ni de l’état de santé ou de bien-être d’un animal, dans la mesure où elle n’exerce pas la profession de vétérinaire et qu’il n’a pas les compétences dans ce domaine et qu’il serait de bon ton qu’elle systématise la présentation à un vétérinaire des animaux qu’elle récupère en situation critique dans les meilleurs délais.

Enfin, il reste d’autres petits points de détail à éclaircir :

- Pourquoi le propriétaire (Habitat du Littoral) n’est intervenu que le lundi alors que le chat se trouvait enfermé depuis le vendredi soir et que les réseaux sociaux (donneurs d’alerte) s’enflammaient ?
- Les autorités qui étaient apparemment prévenues (pompiers et police) n’ont-elles pas pu joindre ce propriétaire dans des délais plus raisonnables afin qu’il libère l’animal ?

Ne doutons pas que les associations militantes en charge du dossier nous apporteront des éléments de réponse.

Au bilan, l’important n’est-il pas que le chat ait été sauvé, qu’il ait été examiné, soigné et rendu à son propriétaire ?

 

 

Lu
dans

" La Voix du Nord "

Jeudi 4 avril 2010


Un petit instant de liberté


La truffe humide, l'œil brillant. Vous les avez certainement déjà vus, en haut du boulevard Sainte-Beuve, un peu avant la Crèche... Les uns  ou les autres de ses copains. Car chaque après-midi, les bénévoles de la SPA du Boulonnais promènent  tour à tour chaque loulou dans les alentours, le temps de se dégourdir les pattes et de s'aérer l'esprit. On en croise souvent quelques-uns, lorsque que l'on emprunte cet axe. Des chiens qui respirent la joie de vivre, qui profitent de ces quelques instants de liberté avant de rentrer. Bien sûr, ils seraient mieux dans une famille avec un jardinet. Mais hiver comme été, les bénévoles de la SPA ne les laissent pas tomber. Et leurs offrent leur petit instant de liberté. tV. É.• AUJOURD'HUI

 

 

 

PARU
 

DANS ...
LA SEMAINE DANS LE BOULONNAIS

 
en Février 2013


 







CAMPAGNE 2013
DE LA SPA DU BOULONNAIS.

Réduire la prolifération des chat

 

 

autre page à consulter
sur le site

 clic ici

 

 

 



LA STÉRILISATION DES CHATS
acte nécessaire et responsable
 

La stérilisation des chats, ce n'est pas une obligation, mais c'est une question de morale et de bon sens », lançait Gilbert Pilloy, de la SPA du Moulin Wibert. L'organisme est entré en campagne suite au constat alarmant de la recrudescence de chatons qui se retrouvent abandonnés ou dans le couloir de la mort alors qu'ils n'ont rien demandé. « La stérilisation est un acte responsable qui vise à stabiliser la population féline. C'est une façon de sauver des vies animales, de rompre avec les souffrances et une alternatives aux euthanasies massives».

Prolifération rapide

A partir d'un seul couple de matous, le nombre de naissances peut être hallucinant : en trois ans, il est possible que 1730 chatons soient de ce monde ! Et cela peut se transformer en grande détresse pour eux : livrés à eux-mêmes, il arrive qu'en vagabondant, ils soient la cible de personnes mal intentionnées qui leur font du mal, les maltraitent ou les empoisonnent. « Ils n'ont pas demandé à être là, et comme ils sont trop nombreux, ils sont voués à une mort prématurée certaine via l'euthanasie », s'alarme-t-on à la SPA qui est en contact avec la fourrière.
Les deux structures vont travailler toute cette année main dans la main pour sensibiliser les propriétaires de chats au souci de la prolifération massive. « On voit encore trop de petits malheureux arriver à la SPA. Ces petits chats n'ont pas demandé à venir ici. Certes, ils sont très bien traités et ont droit à des soins de notre part, nous les bénévoles. Mais à un moment, on ne peut pas accueillir tous les animaux s'ils sont trop nombreux ».

L'identification obligatoire !

Si la stérilisation n'est pas obligatoire, l'identification, elle, l'est. Si vous êtes propriétaire d'un chat, n'oubliez pas qu'une loi vous oblige à l'identifier. « L'identification avec le tatouage ou la puce permet de retrouver un animal perdu afin d'éviter son euthanasie », rappelle la SPA. 

 


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